Pendant dix jours de résidence de création, des habitants du village de Toubab Dialaw, au Sénégal, expriment leurs sentiments face au projet de port de Ndayane qui risque de faire disparaître leurs moyens de subsistance. Ils partagent leur Histoire et leurs traditions, celle d'un peuple, les lébous.
Documentaire de 52 mn Laure Malécot, produit par l'Ecole des Sables et le Fluide Ensemble, avec le soutien de l'AFD- Agence Française de Développement- Institut Français.- 2021
Alors que la pandémie de Covid 19 fait toujours rage, quelques mois après le semi-confinement imposé au Sénégal, nous suivons les témoignages de quatre femmes engagées dans l'apport de changements positifs, dans les domaines croisés du développement économique, de l'éducation, de la psychologie et du bien-être personnel. Leurs points de vue spirituels et philosophiques convergent sur un point central : le besoin vital d'harmonie, à partir d'un sentiment d'interconnexion et d'interdépendance avec tous les éléments de la vie.
Documentaire de 26 mn produit par Laure Malécot, Artmada et Ecoversities- 2020
PREMIERE PROJECTION : Institut Français de Dakar et Saint Louis, 14.01.2022,
Nuit des Idées
La campagne d'implantation de forêts médicinales et nourricières au Sénégal (2020/21), est l'occasion d'en expliquer le fonctionnement, les raisons et de montrer la vaste implication populaire que cela a suscité à travers le pays.
Un documentaire de 26mn réalisé par Laure Malécot
Produit par l'Agence sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille Verte, avec le soutien du 3FPT et de Biophilia Résonance.
Musique : Daba Makourejah, "Sunu Tool".
Visionnage libre : https://www.youtube.com/watch?v=mSvJ9APZEX0
PROJECTIONS - FESTIVALS :
12 et 16 octobre 2022. 1ère mondiale. Sélection officielle Festival BIFED - Ecological Film, Istanbul, Turquie
24 septembre 2023, Diyarbakir Ecological Film Days, Turquie
En développement
Long-métrage documentaire
A la fin des années 50, Maurice Sonar Senghor, homme de spectacle, passionné de théâtre, parrainé par de prestigieux personnages, renonce aux planches sur lesquelles il excelle, à l’heure de l’indépendance du Sénégal, où il rentre pour se vouer à l’administration du Théâtre Sorano nouvellement construit. Il devient metteur en scène, auteur parfois, d’une vaste troupe de comédien, danseurs chanteurs et musiciens qu’il fait tourner dans le monde entier. Il élabore un répertoire qui répond à des exigences culturelles en réponse au dénigrements et oublis que la colonisation a provoqué, en mettant en valeur le terroir, mais pas seulement. Il ouvre la scène du Théâtre Sorano aux stars internationales, et à toutes sortes de spectacles. Vingt ans plus tard, alors qu’il développe la carrière internationale de la troupe, la démission de son oncle, Léopold Sédar Senghor, à qui il est intimement lié, et dont il représente la politique culturelle, provoque sa « démission » forcée. En quittant définitivement ce Théâtre, et le Sénégal, il se demande s’il a bien accompli la mission qu’il s’était fixé : « donner naissance à un théâtre de dimension universelle ».